1 Frankenstein, préface à l'édition de 1831.
2 Ibid
3 La créature revendique aussi une compagne, mais cette idée est de Shelley qui a beaucoup encouragé sa femme à tirer un roman de son idée première et en a quelque peu supervisé l'écriture.
4 Op. cit.
5 Postface à l'édition 10/18, p. 415.
6 Tel est du moins le témoignage de Lloyd Osbourne, son fils, qui, lui, avait beaucoup admiré l'œuvre sous cette forme.
7 Cité par J.-P. Vernier, H.-G. Wells et son temps, p. 95.
8 Wells utilisera ce thème dans L'Homme invisible (1897).
9 Cité par J.-P. Vernier, op. cit., p. 130.
10 Op. cit., p. 64.
11 Op. cit., p. 32.
12 Voir Histoires à rebours (Le Livre de Poche).
13 Le contrat ordinairement signé par les studios de Hollywood avec les acteurs durait sept ans. Celui-ci paraît bien être une blague d'imprésario arnaqueur. (N.d.E.)
14 Système d'assurance-maladie privé. (N.d.T.)
15 Juste une note en passant, pour faire entrevoir les problèmes que ce farceur de Lafferty pose au traducteur. Il écrit speir-sky, qui se prononce comme spare sky et qu'on pourrait traduire : « ciel de rechange ». Normal, puisque c'est la nuit du renouvellement. Mais il écrit speir, du mot grec dont sont issus spire, spirale, spirochète. Lafferty connaît le grec, et en joue presque à chaque page. Il faudrait donc traduire : « ciel qui s'enroule ». Normal, si le cosmos est sphérique. Mais qu'est-ce que vous mettez en français ? (N.d.T.)