N° 162

Ouille ouille ouille ! Mon père venait de repartir après un paisible et très agréable séjour d’une semaine, et trois heures plus tard me voilà pliée en deux par une douleur à m’arracher littéralement les tripes qui a duré plus de vingt-quatre heures d’affilée. Comme si j’avais reçu un coup de poing au ventre, comme si j’avais enchaîné en une heure 161 enculades débridées. La seule chose logique à faire était donc d’attaquer ma 162e. Dieu que ça faisait mal ! Nouveaux paliers de tolérance, nouveaux paliers de relâchement, nouveaux paliers de discipline. Au moment où il m’a pénétrée, j’ai songé : ce n’est pas si pénible que ça, je suis déjà guérie rien qu’en étant nue, le cul exposé. Je me trompais. Le temps qu’il s’introduise de treize centimètres et plus, il enfonçait le poing dans mes entrailles et me « rolfait (19) Â» de l’intérieur. Ça m’a fait un mal de chien, mais je n’ai rien dit. Je me suis contentée de maintenir le niveau de douleur juste au-delà du supportable et j’ai adoré ce défi tout en me disant : « Ma fille, tu es vraiment la petite maso à papa ! Â»