Frauen im Schützenverein? Schluss mit lustig in Westfalen

Niemals hätte Viktoria Latell, Starreporterin beim Berliner Express, sich herabgelassen, eine Geschichte in Westbevern, Westfalen, zu recherchieren. Wäre auf dem Foto des Schützenvereins nicht dieses Tier gewesen, das Viktoria schon einmal gesehen hat. Am Neujahrsmorgen, am Müggelsee. Neben der Leiche der 18-jährigen Sarah. Auf einem Abschiedsbrief. Viktoria reist in die tiefste Provinz. Dort muss sie schockiert feststellen, dass sie mit Westbevern mehr verbindet, als ihr bewusst war. Und dass sie ihre erste Leiche schon vor vielen, vielen Jahren gesehen hat.

Ein herrliches Spiel mit großstädtischen Vorurteilen gegenüber der sogenannten Provinz.

Le royaume d’Hardorn envahi par l’armée de l’Empire de l’Est, les frontières de Valdemar et des autres pays de l’Alliance nouvellement née sont en danger. A Haven, hérauts et ambassadeurs sont réunis autour de la reine Selenay pour adopter un plan de défense commun, et oublier les haines qui depuis des siècles opposent les peuples voisins.

Un péril bien plus grand, venu de l’autre bout du temps, remet la menace humaine à sa modeste place.

Peuples encore ennemis quelques mois plus tôt, chevaux magiques compagnons des hérauts, créatures mythiques surgies du passé, mages venus des contrées les plus lointaines vont devoir s’unir, malgré leurs peurs et leurs rancœurs pour aller chercher la solution au plus profond d’eux-mêmes. Ils vont devoir révéler des secrets cachés depuis longtemps, utiliser toute leur magie et tous leurs talents, car les tempêtes qui s’annoncent pourraient bien détruire leur monde.

Aux frontières de l’Alliance, les vagues magiques se brisent inlassablement contre la digue virtuelle qu’ont dressée Karal et ses amis. Jusqu’à quand tiendra-t-elle ? Chaque nouveau choc l’érode un peu plus. À Valdemar, nul ne sait où trouver une solution définitive. En Hardorn, le grand duc Tremane, qui avait cru l’Alliance responsable des vagues, se découvre un autre homme, loin de cet empereur auquel il espérait succéder. Les gens d’Hardorn ont trouvé en lui un homme juste. Et malgré ses crimes, Karal et ses amis s’allient avec lui.

Loin au sud, s’élèvent les ruines de la tour d’Urtho, un moignon de pierres grises fondues. C’est de là qu’est parti l’holocauste magique, quand Urtho a déclenché une explosion qui a tout ravagé des lieues à la ronde, détruisant les hordes ennemies, leurs mages et leurs créatures. Et les tempêtes, après quatorze siècles, reviennent à leur point de départ : il y a peut-être une chance que les restes de la tour d’Urtho abritent encore des armes inconnues. C’est là qu’il faut aller chercher une solution.

Quels artefacts attendent Karal et ses nouveaux alliés dans les entrailles de la tour ? S’ils se trompent, ils risquent de libérer des dangers plus terribles que les vagues qu’ils veulent arrêter.

Skandranon n’est plus le griffon noir. Dans l’apocalypse de feu qui a détruit son pays, son plumage est devenu d’un blanc éclatant. Aussi éclatant que celui de la ville que lui et ses amis ont construite. Mais la tranquillité n’est pas pour lui. Envoyé en mission diplomatique dans une cité fabuleuse peuplée d’hommes à la peau noire et aux coutumes incompréhensibles, il y est confronté à une série de meurtres sanglants. Mais qui est le tueur en série qui semble si bien le connaître ? Comment arrêter cette suite de crimes de plus en plus atroces ? Quel est le complot magique que dissimule et fortifie tout ce sang répandu ? Et comment convaincre ses hôtes qu’il n’est pas lui-même l’assassin ?

Sans réponses à toutes ces questions, cette fois Skandranon risque bien d’y laisser plus que la couleur de ses plumes.

Dans la cité de Griffon Blanc, ils sont devenus des adultes. Dagueargentée la jeune empathe et Tadrith le Griffon ont hâte de partir pour la mission qui leur a enfin été confiée : loin, très loin de leurs parents, Skandranon le griffon noir et Ambredragon le guérisseur, par-delà la grande forêt, dans un avant-poste isolé où ils seront seuls et enfin libres.

Mais la route qu’ils doivent emprunter pour y arriver est plus dangereuse qu’ils ne l’imaginaient. Échoués au cœur d’une forêt impénétrable, dépouillés de leurs pouvoirs et de leurs instruments magiques, incapables d’appeler des secours, diminués par l’accident qui les a précipités au sein d’un enfer vert et humide, ils vont vite s’apercevoir que le péril qu’ils affrontent est doué d’une intelligence maligne et épie leur moindre geste.

Fléaufaucon était à bout de forces, coincé dans le vide entre les portes magiques où l’avaient précipité les frères du faucon. Ancar d’Hardorn l’en a arraché par hasard, comprenant le profit à tirer d’un Adepte qui le servirait. Mais Fléaufaucon supporte mal d’être captif d’un petit roi faux et méchant, d’un petit mage mal dégrossi et guette la moindre faiblesse de son nouveau maître pour l’éliminer et se retourner ensuite contre ces frères du faucon qu’il hait. Dans le jeu du chat et de la souris que se livrent ces deux êtres, le pire serait qu’ils s’aperçoivent qu’ils ont les mêmes ennemis et que leurs puissances associées permettraient de les vaincre. Car les protections magiques dont bénéficiait Valdemar ont été levées ; par le fantôme d’un Héraut Mage, et Elspeth et Ventnoir devront lutter avec la force du désespoir, ameuter mages et troupes de leurs alliés pour défendre le Royaume au milieu des vents furieux levés par la magie.