Soumis aux agissements souterrains du Tisserand, les royaumes Eandi des Terres du Devant connaissent des heures sombres. Luttes de pouvoir, ambitions destructrices, assassinats, les graines de la discorde portent leurs fruits. Désormais, seule une union sacrée permettrait d’éviter le désastre. Pourtant, aveugles au mal qui les ronge, Qirsi comme Eandi s’obstinent dans la méfiance et la haine. La poignée des justes parviendra-t-elle à nouer cette alliance ? Alors que Grinsa, pour démasquer le Tisserand, s’oblige à dénoncer celle qu’il aime, alors que Kearney, roi d’Eibithar, se révèle un monarque hors pair et Tavis de Curgh, jeune prince déchu, un noble valeureux, d’autres ne cessent de gonfler les rangs des rebelles...<

Après avoir poussé le royaume d’Eibithar au bord de la guerre civile, la conspiration qirsi poursuit son œuvre. Son objectif : déstabiliser l’ensemble des Sept Royaumes. Premier visé, celui d’Aneira : son monarque venant d’être assassiné, une âpre lutte s’engage pour la couronne. L’héritière du royaume n’est qu’une fillette de dix ans. L’ambition de la reine de faire couronner sa fille est violemment contrée par les frères du roi défunt, eux-mêmes prêts à toutes les turpitudes pour ravir le pouvoir. Quant au royaume d’Eibithar, malgré l’accession consensuelle de Kearney sur le trône, la situation est loin d’être réglée. Certains contestent la légitimité du nouveau monarque. Tandis que les royaumes d’Eibithar et d’Aneira sont ainsi plongés dans la plus grande confusion, les fils du complot contre les Eandi s’étendent et se resserrent sur les Terres du Devant. Leur destin, loin d’être gravé dans le marbre, se révèle plus incertain que jamais.<

Présentation de l'éditeur

Seyonne a traqué pendant des années les démons des rai-kirah qui hantaient le monde. Implacable au combat, il leur livrait bataille inlassablement, dans les royaumes visibles et invisibles, au péril de sa vie, au détriment de son bonheur. Il a fait tout cela pour rien. Car ces démons n'étaient pas l'ennemi qu'il croyait. Une puissance bien supérieure menace désormais de détruire aussi bien l'humanité tout entière que les démons eux-mêmes. Seule l'alliance de Seyonne et des rai-kirah pourrait sauver le monde qui court à sa perte...      
<

Dans Delft  la tranquille, chacun envie le sort du riche Karel Klundert, un célibataire merveilleusement servi par sa vieille gouvernante, Mina.
Une fois par mois, Karel se réunit à d’autres quinquagénaires, veufs ou vieux garçons, que rassemble une même tendresse pour les plats bien cuisinés et les vins de qualité, amoureusement choisis. Mais une nuit, une voix désespérée va troubler la belle quiétude de ces égoïstes, la voix d’une femme qui appelle au secours Karel Klundert qu’elle affirme être le père de son enfant. Persuadé qu’il s’agit d’une farce, Karel se moque de cette Karin inconnue jusqu’au moment où il apprend qu’une jeune femme, nommée Karin, s’est noyée après lui avoir téléphoné.
Dès lors, Karel va se battre contre lui-même, contre l’impossible. Il ne connaissait pas Karin et Karin est morte parce qu’il n’avait pas voulu répondre à son appel. Dans Delft, on ne comprend pas, l’opinion se divise : pour ou contre Karel. Mais Albrecht Cornelis, le policier, ne veut pas qu’un homme, pour si riche qu’il soit, puisse tuer impunément, même si ce crime ne tombe pas sous le coup de la loi.
C’est un drame émouvant parce que profondément humain, dans l’atmosphère paisible de la belle ville hollandaise.

<

À la fin du XIXe siècle, au manoir de Glen Mawr situé dans la ville de Winterthurn à l'est des États-Unis, vit l'étrange famille Kilgarvan : Georgina, la «nonne bleue» et ses deux demi-soeurs qu'elle élève seule, la sage et studieuse Thérèse et la jolie, fantasque Perdita. À l'aube d'une journée de mai, Georgina s'en va mystérieusement en ville acheter cinquante livres de chaux vive. Peu après, on retrouvera le bébé de sa cousine Abigaïl égorgé près du lit de la mère. Douze ans plus tard, cinq jeunes filles sont retrouvées mortes, atrocement mutilées, près de Winterthurn. Et, douze ans plus tard encore, c'est le pasteur, sa mère et une de ses paroissiennes qui sont sauvagement assassinés à coups de hache. Xavier Kilgarvan mène les trois enquêtes avec verve et passion, au risque de perdre sa crédibilité, son coeur et son esprit. À travers lui, on suit avec délice les façons de la société du tournant du siècle, surannée, pudibonde, hypocrite. Les mystères de Winterthurn clôt ainsi admirablement la trilogie gothique amorcée avec Bellefleur et La légende de Bloodsmoor.  

<

Depuis une bonne quarantaine d'années, il n'a plus écrit une ligne. Même pas pour les voeux de nouvel an. Il ne connaît plus personne. Il est seul dans la ville. Il a 84 ans. Et si ce matin-là il reprend la plume, c'est qu'il a une sacrée bonne raison. Tout démarre dans l'épicerie. Celle située derrière chez lui, celle où il n'était jamais entré. Ce qui s'est passé là, il n'est pas près de l'oublier. Vous non plus.<

1965 Une passionnante fresque des années 1930 à Paris, en Cévenne et en Allemagne. «D'après Zola, y a-t-il autre chose en art que de livrer ce qu'on a dans le ventre ? Alors cet été-là, pardonnez-moi, je me suis soulagé : ma Cévenne, mes voisins, mes parents, mes amis, les mineurs, les paysans, mon atavisme huguenot, mes idéaux marxistes, sur la terre comme au ciel, et sous la terre, la tramontane, la vigne et le charbon, un cocktail, un " mescladis " selon le vocable occitan, tout cela partait d'un lieu, un village que je nommais Clerguemeont, qui rayonnait comme un soleil dont la chaleur allait réverbérer jusqu'à Paris, jusqu'à Hambourg... Les Rebelles, je persiste et signe, c'était le meilleur de mon passé... Mais qu'est-ce qui nous est arrivé dans ce virage brutal du milieu de notre vingtième siècle ? Dans les années 60, quand j'écrivais la trilogie, je croyais encore que Clerguemeont perdurerait... qu'au moins l'esprit rebelle de ses descendants de camisards et de maquisards serait éternel. Le pays de mes rebelles n'existe plus. C'est un espace romanesque qui répand le parfum perdu des puissantes armoires de jadis que l'on ne préservait pas des mites avec du poison, mais avec des sachets de lavande. Voire... Dans ces années 30, c'était le krach de la bourse de New York, il y avait des millions de chômeurs dans le monde, fascisme et racisme montaient partout, Gauche et Droite se fusillaient et Espagne...L'Histoire a tendance à réchauffer ses fours. Peut-être bien que soixante ans plus tard, à la fin de notre putain de siècle, ces trois bouquins, et le Crève-Cévenne qui est en quelque sorte l'épilogue, se liront d'un regard dessillé. »<

En cette année 878, le royaume d'Angleterre vibre à l'unisson de son roi : le Wessex s'est libéré du joug cruel des Vikings. Le comte Uthred, vingt ans à peine, a bataillé ferme, et il espère que le mérite de son épée sera récompensé. Hélas, Alfred le Grand n'est pas réputé pour ses largesses... Uthred, jeune comte sans domaine et guerrier sans bannière, retourne alors dans sa région natale et dirige une troupe de rebelles vers le nord afin de s'attribuer par la force les terres qui lui reviennent de plein droit. Les Seigneurs du Nord : un roman splendide qui s'appuie sur des événements historiques, illustrant magnifiquement les luttes et les péripéties de ces terres sauvages et sanglantes.<

La plaisanterie a mal tourné ! De la petite bande de jeunes gens invités à la campagne, Gerry Wade est toujours le dernier à descendre pour le breakfast et les autres décident de le réveiller en fanfare avec huit pendulettes achetées au bazar du village... Mais le lendemain à midi, Gerry dort encore... De son dernier sommeil : on l'a assassiné avec une forte dose de chloral. Dans la chambre, on ne retrouvera que sept des huit réveils déposés sur le lit. Le huitième ? Il a été jeté par la fenêtre...

<

Paris divisé gronde et se passionne pour le procès du siècle : l’affaire Dreyfus. Tandis que Zola rédige son célèbre J’accuse, Victor Legris et Joseph Pignot se trouvent mêlés malgré eux à une série de meurtres qui frappent bouquinistes et habitués du quai Voltaire. Dans cette ambiance délétère, les deux hommes tentent d'assembler les pièces éparses d’un bien étrange puzzle.

« Pour nous faire voyager dans le temps, Claude Izner utilise la machine la plus fiable qui soit, celle de la langue. Elle nous transporte en un instant magique au coeur du Paris populaire. » Thierry Hubert, Le Dauphiné libéré

<

En cette nuit glaciale de Noël, dans un extraordinaire manoir perdu au cœur de la campagne anglaise mais rempli de trésors, on va enfin ouvrir le testament d’un Lord excentrique, mort dans des circonstances suspectes.
Et ses héritiers ont peut-être tort de se montrer impatients. Mais pourquoi Higgins, ami du défunt, a-t-il été appelé d’urgence ?

Une mort suspecte qui appelle la vengeance et en annonce d'autres, celles de ses hôtes invités à connaître enfin son testament. Son cadeau de Noël ? Trois crimes, et la mort qui rôde.
<

Bavière, XVIIe siècle. Pendant la guerre de 30 ans, la belle Margareta grandit dans un couvent à l'abri de la faim, de la misère et du chaos. Les espoirs de la famille reposent sur elle, la plus jolie et la plus brillante des filles, que sa mère promet à un mariage de raison. Mais Margareta a d'autres rêves. Une nuit, elle s'enfuit secrètement pour suivre Richard von Tscharnini, fils unique d'une famille protestante pragoise en vue.
La furie de la guerre détruit son bonheur, leur couple n'y résistera pas. Margareta doit épouser un autre homme. Mais jamais l'amour ne meurt... Des années plus tard, Margareta se lance à la recherche de son premier amour...      
<

Fun books

Choose a genre