Franz Kafka (1883-1924) életének legfőbb jellemzője az idegenség. Hegedűs Géza szavaival: „Zsidó volt németek között, miközben német volt a csehek között, míg prágai csehnek számított az Osztrák-Magyar Monarchiában." Ráadásul zsarnoki apa uralma alatt vergődött; hivatalnokként nem merte vállalni az írást mint létformát; vágyott a családi életre, de visszariadt a házasságtól. Harmincnégy esztendős korában halálos betegség támadta meg. Ördögi körök...Kafka a szorongások írója. Magyarázható és nem magyarázható félelmek között élt, ezeket a félelmeket örökítette meg regényeiben (Amerika, A per, A kastély), novelláiban, a félelemről vallott naplójában, leveleiben; rövid életének tettei és szóbeli megnyilvánulásai a szorongás hálójában vergődő lélek és a beteg test dokumentumai. "Zsákutca vagyok." - mondta önmagáról. Eletében csupán néhány írása jelent meg, számos műve befejezetlen maradt. Halála előtt arra kérte barátját, hogy semmisítse meg alkotásait. Munkássága végül is úgy maradt fenn, hogy barátja nem teljesítette a kérést. Es Franz Kafka világhírű lett!A per című regény annak foglalata és összegezője, amelyet kafkai világnak nevezhetünk. Túlzás nélkül: remekmű, kívételesen hatalmas alkotás. Első mondatában a legnagyobb történelmi, társadalmi és egyéni csapás, ördögi körök működésének kezdete fogalmazódik meg: "Valaki megrágalmazhatta Josef K.-t, mert
noha semmi rosszat sem tett, egy reggel letartóztatták." A kezdettől a végig, a letartóztatástól a kivégzésig, Josef K. egyesztendős pokoljárása: a regény maga...Kaiser László

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La Sécurité Panafricaine soupçonne Algis Adamci, le secrétaire aveugle de Loé Dantika, d'être aussi un agent américain, manipulé par le colonel Lynbrook. Algis est livré à l'encéphalogue Bruno Ceren qui le transforme en SIMAK. Il devient alors un de ces esclaves dociles et heureux, créés par les biologistes du XXIè siècle pour fournir aux propriétaires des microclimats une main-d'œuvre à bon marché. Mais au-delà des SIMAKS, il y a les WIKIS. Algis subit l'ultime métamorphose qui fera de lui un être plus léger que le temps. Pendant qu'un formidable ouragan climatique détruit Bora Aul et que débute la Guerre de Cent soixante-quinze Ans, il est projeté hors du courant temporel. Une île de la Lune l'emporte jusqu'au bout de l'histoire...où il retrouvera peut-être Ann-Li.<

Le Grand Moratoire avait été appliqué au XXIIIe siècle pour permettre à la Terre de se purifier et de renaître. Toute activité suspendue, des milliards d’êtres humains en hibernation dans les cavernes artificielles et, à la surface, le minuscule Peuple de la Présence, sous le contrôle des Écumeurs du silence… En l’an 525 du Moratoire, Juo Jombro, ancien officier des Écumeurs, et Ushaïa, ancienne maîtresse du village d’Acharac, fuient sur une Terre infestée par les féroces chiens géants et les Nomades sanguinaires. Grâce au Programme supérieur qui augmente prodigieusement son rythme physiologique et sa puissance mentale, Juo se croit invulnérable. Il n’a pas envie de se battre. Il veut seulement vivre en paix sur les vertes collines de la Terre. Puisque les Maîtres ne reviendront sans doute jamais. Mais son destin l’attend au Sanctuaire de Térive d’Allac.<

Daystar était un vagabond pourchassé à travers le désert aride qui avait été les Etats-Unis. Le territoire maudit était hanté par les monstrueux vers de feu, qui pour tous signifiaient terreur et mort.
Pour tous, sauf pour lui, Daystar, qui fuyait les hommes civilisés, attachés à sa perte. Considéré comme un traître à l'humanité, il estimait qu'il pouvait en devenir le sauveur.
Ombre était une jeune fille exilée, et comme Daystar, elle errait dans les terres désertiques.
Leur rencontre physique et spirituelle, après le terrible génocide des enfants autistes, pouvait agir comme un catalyseur sur le destin du monde.
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« La Roue du Temps tourne et les Âges passent, laissant des souvenirs qui deviennent des légendes. Dans ce monde d'ombre et de lumière où le bien et le mal se livrent une guerre éternelle, Puisse le Dragon s'envoler à nouveau. » 
 

La Roue du Temps s’emballe. Rand doit accepter son destin : il est le Dragon Réincarné, et le Ténébreux l’attend. Perdu et dépassé par ses nouveaux pouvoirs, il part pour la fabuleuse cité de Tear. Il doit y trouver l’épée légendaire Callandor. Elle seule lui permettra d’avoir une chance lors de l’ultime bataille. Il laisse derrière lui amis et alliés qui refusent de l’abandonner à son sort. Ils le rejoignent à Tear, où prendra fin cette fabuleuse épopée.

 

Un mot de l'éditeur :
 
Chers amis,
La Roue du Temps est la plus grande fresque de Fantasy depuis J.R.R. Tolkien.
Ce n'est pas une opinion, c'est un fait.
Vendue à plus de 80 millions d'exemplaires, elle a captivé tous les publics par sa richesse et son ampleur.
Elle a inspiré des centaines d'auteurs et s'est imposée comme une référence absolue de l'épopée moderne.
La Roue du Temps raconte en 14 volumes la quête et le combat d'une poignée de braves pour vaincre l'incarnation du mal, ressurgie d'un antique passé pour asservir le monde.
Leur histoire deviendra celle de tout un monde face aux épreuves, au changement, à la destruction et à la recherche de l'espoir.
Parviendront-ils à triompher sans avoir à tout sacrifier, ni se perdre eux-mêmes ?
La Roue du Temps est une mythologie moderne, un monument romanesque. Un récit captivant qui vous emmène au bout du monde, un univers cohérent et parfaitement accessible, un voyage extraordinaire au coeur de conflits opposant des nations entières peuplées de personnages qui nous ressemblent.
Si vous n'avez qu'une seule saga à lire après Le Seigneur des Anneaux, c'est La Roue du Temps de Robert Jordan.
Et vous allez enfin pouvoir le faire dans sa forme idéale : la tomaison originale voulue par l'auteur, une nouvelle traduction signée Jean Claude Mallé et des couvertures élégantes reflétant sa dimension universelle.
2012 est l'année de La Roue du Temps.
 
Stéphane Marsan, éditeur.

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Günther Krupkat: Látogató az Antibolygóról (Majtényi Zoltán fordítása)
Gerhard Branstner: Utópikus anekdoták (Majtényi Zoltán fordítása)
Carlos Rasch: A Luna Gor szerelmespárja (Majtényi Zoltán fordítása)
Alfred Leman - Hans Taubert: Potyautas (Majtényi Zoltán fordítása)
Heinz Entner: Pillantás az NDK sci-fi irodalmára (Majtényi Zoltán fordítása
>Norman Maccaig: Holdraszállás (Szentmihályi Szabó Péter fordítása)
Edwin Morgan: A Hold, 1973. február (Szentmihályi Szabó Péter fordítása)
Isaac Asimov: Gyönyörű idő van... (Vámosi Pál fordítása)
A. Bertram Chandler: Az utolsó vadászat (Gálvölgyi Judit fordítása)
Avro Manhattan: A krikettlabda (Fazekas László fordítása
Vladlen Bahnov: Hát így történt a dolog... (Karig Sára fordítása)
Isaac Asimov: Hogyan ne építsünk robotot? (Göncz Árpád fordítása)
Colin Kapp: A bűnfürkésző (Vámosi Pál fordítása)
Frank Herbert: Szerencsés menekülés (Kolozsvári Papp László fordítása)
Boris Vian és a sci-fí (Bajomi Lázár Endre)
Boris Vian: Veszedelmes klasszikusok (Bajomi Lázár Endre fordítása)
T. Csernyisova: A sci-fi és korunk mítoszalkotása (Farkas Attila fordítása)
Kötetünk képeiről (Kuczka Péter)
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Blade, releva les yeux et vit alors une montagne de chair qui s'avançait vers lui en agitant le corps nu d'un garçon. La brute devait faire plus de deux mètres de haut et traçait sa route dans l'eau avec la puissance d'un char d'assaut. Mais le plus écoeurant, c'était sa tête d'attardé microcéphale avec ses arcades sourcillières proéminentes, la forme écrasée du nez, la bouche blessée entrouverte sur une dentition de fauve. Blade banda ses muscles. Vingt mètres les séparaient.
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Ballotté dans un environnement obscur, aux parois instables et suintantes d'un liquide chaud et visqueux, Blade avait perdu tous repères.
Il vivait un présent dont l'unique mesure, le mètre étalon, était la souffrance. Une brûlure vive courait le long de ses jambes et de son flanc gauche sur lequel il gisait. Tentant de se redresser, il appuya ses mains sur ce sol mouvant. C'est alors, lorsqu'il sentit fondre la pulpe de ses doigts, qu'il réalisa d'où provenaient les douleurs qui irradiaient sa peau.
Ce produit visqueux dans lequel il baignait était un acide puissant !
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— As-tu au moins confiance en toi ? s'inquiéta le Mentor. — Je n'ai pas le choix, murmura Blade en scrutant les visages tendus des colosses qu'il devait affronter dans l'arène.
Il venait a peine d'apprendre comment dresser une barrière mentale contre les pensées d'autrui et, malgré le silence absolu qui régnait dans le Temple des Luttes, le vacarme des appels à la mort émanant des esprits surchauffés se bousculait à la lisière de sa conscience. — Sous aucun prétexte, tu ne dois dévoiler que tu possèdes le don de lire dans les pensées, insista le Mentor en chuchotant. Sinon tu devras faire le sacrifice de ta vie.
Sans répondre, Blade se plaça au milieu de la zone de combat et attendit la première attaque.
Il ne parvenait pas à maîtriser le tremblement de ses membres.
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— Attendez là, ordonna le nain, je vais prévenir le Grand maître de votre arrivée.
Tournant les talons, le petit homme planta les deux visiteurs dans la cour du château qu'il traversa de sa curieuse démarche chaloupée.
— C'est bizarre, marmonna Blade, inquiet soudain. Ce château manque de vie, il n'y a pas un bruit, pas un mouvement... Ce n'est pas normal.
— Je t'avais prévenu, Blade-Richard-Blade, Les Nains Sacrés ont des pouvoirs extraordinaires, fit Shani d'une voix mal assurée. Ils se sont peut-être brendus invisible et ils nous guettent, là, tout près de nous, partout...
Effrayée par ses propres propos, elle lança un regard craintif autour d'elle. Mais c'est le ciel qui brusquement leur tomba sur la tête. Un gigantesque filet s'abattit sur eux, les projetant à terre, en même temps qu'une vingtaine de soldats surgissaient dans la cour.
Empêtré dans les lourdes mailles qui l'entravaient, Blade se prépara à défendre chèrement sa liberté.
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